" L' « Héroïne jolie » « Critères de railleries » « Poèmes de terres brûlées » sont contraints comme d’un bruit qui s’effrite à beaucoup près, ils sont écrits en ce que s’enjoint selon la définition de « Surréalisme » cette unique occasion : travail de l’automatisme, force de l’instinct le psychisme, une pensée dictée depuis l’absence de tout contrôle, liberté de tous les mouvements, accession en le rêve, inconscience de l’esprit, l’oeuvre simple lié à la spontanéité... » (...) Ici. De l'écriture. Sans composition déjà. Sans consistance aucune. Sans esprit de conscience n’eût été qu’à la manière d’un esprit simple justement, sinon, sans abrutissent extérieur. Sans règle aucune oui. Sans jugement esthétique académique en le grattage-dogmatique lié à cette académie-là parfaitement. Sans apport substantiel de style sauf digression de la forme… (...) Attachement certain mais, en le rythme d’occurrence ; rythme transporté par un travail rugueux pompeux tuberculeux (...) tout au plus un travail impitoyable qui s’est avéré séducteur en ce que chaque phrase soit dite, à la suite de quoi de ce déroulement probant justifié, que par un mouvement de la lecture orale seulement. (...) Sans silence. Sans richesses. Organique et familier, oui mais sans faculté particulière dans une certaine mesure. (...) L' « Héroïne jolie » « Critères de railleries » « Poèmes de terres brûlées » sont portés par l’extrême vigueur virginale de la nullité d’un chant sans capacité régulière et à l’écriture, d’abord, d’abord sans retouche empirique si bien que le seul jet de plume en fut pour si peu la raison vivante d’une torture sociale et masochiste, et, l’un et l’autre humaine et plébéienne, dans une certaine mesure, de la perfection inaltérable en cela, d’incontinente : si j’ose le dire selon moi ainsi. Votre MÏLLOW "